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- Date
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- Liasse, 10 pièces, papier.
- Présentation du contenu
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Reconnaissance de dette par Gabrielle Salat, veuve de feu Pierre Vidalenc et Pierre Vidalenc, son fils, habitant à Forneirols, paroisse de Brezons, envers Jean Peschau, marchand de Murat, de la somme de 440 livres à cause de vente de blé ou avoine, que les débiteurs s'engagent à payer en quatre termes égaux de 110 livres, le premier tombant à la Saint-Martin prochaine (1632).
Autre reconnaissance de dette par Pierre Vidallenc envers Jean Peschau, de la somme de 659 livres, payables à raison de vingt livres à la Saint-Michel de chaque année (1639).
Autre reconnaissance de dette par Antoine Vidallenc, envers Catherine Peschau, femme de Pierre Delarbre fille et héritière de feu Jean Pechau, de la somme de 652 livres, pour le paiement de laquelle ledit débiteur a hypothéqué un pré appelé de Joanne et un champ appelé de Lalé, contenant en tout neuf cartons (1666).
Testament de Jean Peschau, habitant de Murat ; il lègue à Jeanne Peschau, sa fille aînée, la somme de cinquante livres qui lui sera payée à l'époque de son mariage ; à Louise Peschau, son autre fille 30 livres, qui lui seront payées lorsqu'elle aura atteint vingt-cinq ans, ou lorsqu'elle se mariera ; à Jacques et Pierre Peschau, ses deux fils, dix livres à chacun, et à tous autres prétendants la somme de 5 sols. Il institue son héritière universelle et générale, Marguerite Recodière, sa femme. Fait à Murat, en présence d'Antoine Voltan, praticien, Martial Laurans, Jean Teissèdre, Guillaume Delarbre (1681).
Quittance délivrée à Marguerite Recodière, veuve de Jean Peschau, par Antoine Sauret, marchand de Pierrefort, de la somme de 88 livres (1690).
Reconnaissance de dette par Marguerite Recodière à Anna Labelles, veuve d'Antoine Menière, de Murat, de 60 livres (1690).
Reconnaissance de dette par Marguerite Recodière et Jacques Peschau, son fils, à Marc Sastre, marchand de Murat, de 60 livres (1690).
Reconnaissance de dette par Marguerite Recodière et Pierre Peschau, son fils, à Guilaume Combes, tonnelier de Murat, de 30 livres (1690).
Rente annuelle de cinq livres payée par Jacques Peschau, maître maréchal de Murat, à Marie Recodière, sa mère, pour le louage de deux étages d'une maison sise à Murat, et rente annuelle de trois livres payée à la même par son autre fils, Pierre Peschau, maître cordonnier, pour le louage d'une boutique sise pareillement à Murat (1691).
Copie de contrat de vente faite par Jeanne Laroque, veuve de Durand Lauranie, chirurgien, à Guillaume Peschau, charpentier de Murat, d'un champ nommé le Puech, sis aux communs de Murat, pour le prix de 255 livres, dont ledit Peschau a payé 120 livres, et dont il paiera les reste par annuités de 40 livres à la Saint-Martin d'hiver (1691).
- Mots-clés lieu
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- Forneirols (Brezons, Cantal, France)
- Murat (Cantal, France)
- Pierrefort (Cantal, France)
- Mots-clés matière
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- Débiteur et créancier
- Testament
- Rente
- Mots-clés personne
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- Salat, Gabrielle
- Vidalenc, Pierre
- Vidallenc, Antoine
- Peschau, Catherine
- Delarbre, Pierre
- Peschau, Jeanne
- Peschau, Louise
- Peschau, Pierre
- Peschau, Jacques
- Recordière, Marguerite
- Voltan, Antoine
- Laurans, Martial
- Teissèdre, Jean
- Delarbre, Guillaume
- Sauret, Antoine
- Labelles, Anna
- Menière, Antoine
- Sastre, Marc
- Combes, Guillaume
- Recordière, Marie
- Laroque, Jeanne
- Lauranie, Durand
- Peschau, Guillaume