Aurillac Archives anciennes (antérieures à 1790) Série GG : Cultes - Instruction publique - Assistance publique Instruction primaire Mots-clés lieu Aurillac (Cantal, France) Permalien de la notice https://archives.cantal.fr:443/ark:16075/a0113280863720dmeYV.moteur=arko_default_5fe0d0b5a0d5e Pièces de procédure entre les consuls et l'abbé d'Aurillac, relatives au droit de présentation du régent des écoles d'Aurillac. Ce droit était contesté par l'abbé aux consuls (octobre-novembre 1503). Accord entre Jean Palach, François Baudel, Géraud de Cinqarbres, Jacques Delolm, Guillaume Andrieu et Jean David, consuls d'Aurillac, et Jean de Malras, vicaire général de l'abbé d'Aurillac, touchant la régence des écoles publiques. Il est réglé que ledit régent sera présenté par les consuls et institué par l'abbé ou son vicaire général (13 juin 1530). Sentence du présidial d'Aurillac, portant défenses de tenir écoles, si ce n'est pour l'alphabet et la lecture, ailleurs que dans les villes murées où il est accoutumé d'y en avoir. Elles ne pourront être tenues que par gens approuvés par l'évêque (10 avril 1557). Délibératoires de l'Hôtel de ville d'Aurillac pour l'établissement des Frères des Écoles chrétiennes (28 mai-23 septembre 1777). Extraits des registres du Parlement enregistrant les lettres patentes du roi Louis XV données au mois d'avril 1778, portant approbation de l'établissement projeté d'écoles gratuites rue d'Aurenque à Aurillac dans le local appartenant aux chapelains de Bonnepinche (14 août 1778). Enquête de commodo et incommodo touchant l'utilité de l'établissement d'écoles chrétiennes à Aurillac, tous les avis sont favorables (27 mai 1778). Rapport de Géraud Joseph Nauthonier, expert-féodiste de la "fille d'Aurillac sur l'estimation des maison et jardin destinés aux écoles chrétiennes. Le tout est évalué à 3.800 livres (2 juin 1778). Consentement donné à l'établissement des écoles chrétiennes à Aurillac, par Etienne Lolier, docteur de Sorbonne, curé d'Aurillac, Joseph Peytavy et de Tourrel, chapelains de Bonnepinche ; par Marguerite de Trenty, comtesse de Montfort, demoiselle Thérèse Delfieu, MM. Cabridens, prêtre et de Trenty, chanoines ; par Jean Sérieys, vicaire-général de l'évêque de Troyes, abbé d'Aurillac ; par les échevins et notables de la ville d'Aurillac (5-6 juin 1778). Requête des Frères des Ecoles chrétiennes au corps municipal d'Aurillac "que, si celui-ci ne juge pas nécessaire la déclaration des frères comme corps religieux, il expose à l'Assemblée Nationale que les officiels municipaux d'Aurillac paient annuellement la pension aux frères, entretiennent leur maison et que tous leurs meubles leur appartiennent jusqu'au laps de trente ans". - Suit la liste des revenus : total 455 francs (1789).