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Ayant pris sa retraite politique en 1828, on aurait pu imaginer que De Pradt approuverait le libéralisme de la Monarchie de Juillet. Son horreur du désordre et sa crainte de la Révolution le font curieusement pencher vers la réaction.
Il apparaît, sur ce médaillon sculpté par David d'Angers, en 1830, de profil, le cheveu court et l'air plus austère.
Localisation des originaux
Collection château des Prades (Landeyrat)
Mots-clés matière
Mots-clés personne
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