Archives du Cantal
12 NUM 12, Après l'ambassade de Varsovie et la chute de l'Empire : un portrait aigre-doux de l'Empereur
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Napoléon, en choississant de nommer ambassadeur un archevêque, voulait amadouer la catholique Pologne pour qu'elle lui serve de base efficace dans la campagne de Russie. Après la consommation de la catastrophe, l'Empereur griffonne simplement, pour demander le rappel de Pradt : "Débarrassez-moi de ce faquin". L'archevêque est sommé de rentrer à Malines "pour y apprendre son catéchisme".

En 1815, après l'orage, de Pradt donne sa version de "L'Histoire de l'ambassade dans la grand duché de Varsovie en 1812". Il y a le beau rôle, et l'Empereur y est présenté sous les couleurs d'un tyran sans que, pour autant, l'ambassadeur rappelé puisse se départir de la fascination qu'il éprouve pour ce "Jupiter-Scapin".

Localisation des originaux

ADC, 3 BIB 526

Mots-clés lieu
  • Varsovie (Pologne)
Mots-clés matière
Mots-clés personne
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