1-8. Correspondance générale du département (5 Mars-15 Octobre 1791) ; I. Les administrateurs font passer au président de l'Assemblée nationale une pétition de la commune d'Arpajon, "qui respire le plus grand civisme", pour obtenir un armement complet pour sa garde nationale, composée de 500 hommes (30 Mars 1791) ; 2. Un arrêté a dû être pris contre les religieuses de Saint-Flour en raison de leur conduite à l'égard de l'évêque Thibault et de leur fanatisme (23 Avril 1791) ; Le Sieur Bru, juge suppléant au tribunal du district de Saint-Flour, est dénoncé pour "n'avoir pas cessé de tenir les propos les plus vifs, les plus incendiaires et les plus indécents contre l'Assemblée nationale" (14 Mai 1791) ; 4-5. Les corps administratifs du département et tous les citoyens consultés sont pour le maintien de la Constitution et de la monarchie (2 Juillet 1791) ; 7. Les administrateurs du département signalent au maire et au président du département de Paris "une émigration presque générale de ceux que jadis on appelait nobles ; ... on dit qu'ils se rendent à Paris pour renforcer le parti contre-révolutionnaire" (28 Septembre 1791) ; 8. Les administrateurs informent les députés du département qu'en exécution des ordres du Roi, qui leur ont été notifiés le 8 Octobre, le siège de l'administration du département va être transféré de Saint Flour à Aurillac (15 Octobre 1791)
9-44. Correspondance générale du département (26 Janvier-29 Mai 1792) ; 9. Les municipalités de Saint-Christophe et de Loupiac ne paraissent prendre aucune mesure pour dissiper des attroupements séditieux qui se forment dans ces paroisses (26 Janvier 1792) ; 11. Troubles à Aurillac (12 Mars 1792) ; 12. Les insurrections se multiplient dans le département ; à Aurillac, la terreur est générale, il n'y a plus de sûreté dans cette ville, d'où l'on s'enfuit en foule (2 Avril 1792) ; 13. "Les ennemis de la Constitution sont la cause des insurrections qui éclatent de toutes parts. On cherche à égarer le peuple..." (Aux députés du département, 15 Mars 1792) ; 13-14. "Les corps administratifs n'ont plus aucune influence et vainement feraient-ils les réquisitions" (Au ministre de l'Intérieur, 17 Mars 1792) ; 14. Troubles, notamment à Montsalvy (22 Mars 1792) ; 14-16. Démolitions et pillages de châteaux (22-24 Mars 1792) ; 17-44. Autres lettres sur les troubles dans le département et sur les mesures prises pour maintenir l'ordre (29 Mars-29 Mai 1792)
45-63. Directoire du département : registre des délibérations (6 Juin 1792-12 Pluviôse An II)
64-72. Conseil permanent du département : procès-verbaux des séances (4 Novembre 1792-30 Janvier 1793)
72-74. Directoire du département : procès-verbaux des séances (21 Septembre 1791-26 Mai 1792)
74-82. Correspondance du Directoire du département (11 Juin 1792-23 Pluviôse An III) ; 81. Au sujet d'Antoine Migard, de Saint-Flour, condamné à mort le 8 Messidor (3 Thermidor An II) ; 82. Au sujet de Benoit Bardy, de Montmarty (Saint-Etienne-de-Maurs), condamné à mort le 24 Messidor (3 Thermidor An II).
Copies des Archives Départemantales, série L
- Arpajon-sur-Cère (Cantal, France)
- Aurillac (Cantal, France)
- Loupiac (Pleaux, Cantal, France)
- Montsalvy (Cantal, France)
- Paris (France)
- Saint-Christophe-les-Gorges (Pleaux, Cantal, France)
- Saint-Flour (Cantal, France)
- Administration publique
- France -- 1789-1799 (Révolution)
- Conseil du département
- Directoire du département
- Démographie
- Emigration
- Politique
- Parlementaire
- Opinion publique
- Congrégation religieuse
- Evêque
- Bardy, Benoît
- Bru (juge à Saint-Flour)
- Migard, Antoine
- Thibault (évêque constitutionnel et député du Cantal)
- Delmas, Jean (érudit)