Après écoute de cet entretien enregistré Pierre Amiral a tenu à rectifier certains points de son témoignage :
Entre 1965 et 1971, donc en 1968, le maire d'Aurillac était le socialiste SFIO Jacques Meyniel ; il avait entre autres, dans sa municipalité, MM. Benoit et Bousquet. Cela explique en grande partie la sympathie manifestée envers les grévistes.
Jacques Meyniel avait été élu contre le sortant de droite, le modéré M. Piales ; celui-ci avait, semble-t-il, été victime du courroux irraisonné des Aurillacois qui l'accusaient d'un mauvais dégagement des rues et trottoirs suite à une récente et importante chute de neige.
En 1971, Jacques Meyniel, devenu juge à Bordeaux ne se représentera pas. La tête de liste qui tentait de luis succéder, bien que comprenant de nombreux éléments de la précédente équipe fut battue. Elle était emmenée par le talentueux docteur Belcour, adjoint sortant, à qui certains reprochaient une certaine froideur. Elle avait face à elle la liste de Jean M&zard, autre homme de droite modéré qui jouissait d'une grande considération dans la ville...
30 ans
2049
- Bianchi, Frédéric
- Amiral, Pierre
- Bec, Patrick
- Meyniel, Jacques
- Piales
- Bousquet
- Benoit
- Belcour
- Mézard, Jean
- Aurillac (Cantal, France)
- Mai 1968
- Institut d'Histoire Sociale CGT du Cantal
- Confédération Générale du Travail (CGT)
- Bianchi, Frédéric
- Amiral, Pierre
- Bec, Patrick
- Meyniel, Jacques
- Piales
- Bousquet
- Benoit
- Belcour
- Mézard, Jean